4 juin 2013

Le Prater de Vienne



Le Prater raconté par Jean des Cars dans le livre Rodophe et les secrets de MayerlingViel Spaβ !

« Le Prater ! Tout un symbole ! Longtemps réservé aux chasses de la Cour et au seul plaisir des illustres familles, ce vaste parc de mille sept cent douze hectares s’étend entre le Danube et le canal latéral, au nord-est de la cité. En 1776, l’empereur Joseph II, le libéral frère de Marie-Antoinette, avait décidé d’ouvrir le Prater au bon peuple. Vienne était sinistre, il fallait l'égayer. Depuis, les raisons de s’y rendre sont nombreuses. Il y en a pour tous les goûts ; dans la grande allée, bordée d’une quadruple rangée de marronniers, les élégantes font admirer leurs toilettes et leurs équipages à des horaires convenus. Dans la partie antérieure plus populaire, les orchestres rivalisent d’entrain et de nostalgie ; les baraques vendant des charcuteries, du vin et de délicieux gâteaux alternent avec les cafés chantants et des attractions foraines dont un célèbre théâtre de marionnettes où l’on suit les mésaventures de Wurstel (Polichinelle).»

Mon grain de sel
Et dans le Prater toujours, direction le café Lusthaus pour y déguster une part de gâteau. Encore une bonne adresse de Sonja.

Mémo en V.O. : grande roue - das Riesenrad

Si vous voulez recevoir les nouveaux articles de Bretzel et Café Crème directement dans votre boîte e-mail dès qu’ils sont publiés, abonnez-vous à ma Newsletter dans le menu déroulant à droite de l’écran.

3 commentaires:

Florence a dit…

Contente de vous retrouver, vos petits billets me manquaient. Bonne journée, j'espère, sous le soleil.

Flo Bretzel a dit…

Merci Florence. Quelques rayons de soleil... entre deux averses.

Mireille a dit…

Bonsoir,
Je suis rentrée dimanche de quelques jours passés à Vienne et ç'a m'a plu de lire vos billets avant mon départ.
Mais que de pluie!!! Dur d'admirer les immeubles d'Otto Wagner ou de monter à l'église de Steinhof sous une pluie battante...Mais Spittelberg,Schönbrunn,et la roue du Prater sous je soleil,c'est pas mal :-).
Il ne me reste plus qu'à revoir "le 3ème homme" et "welcome in Vienna"!
Bis bald.
Mireille.